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Le tarif douanier américain de 1930 qui a créé un dictateur

"Et si une seule loi américaine avait contribué à déstabiliser la démocratie mondiale et préparé le terrain pour l'accession au pouvoir d'Hitler ?
La loi Smoot-Hawley sur les tarifs douaniers de 1930 était censée protéger les agriculteurs américains. Au lieu de cela, elle a déclenché une guerre commerciale mondiale, aggravé la Grande Dépression et brisé les liens économiques entre les continents. En Allemagne, où l'effondrement économique a nourri l'extrémisme, elle a contribué à ouvrir la voie à l'un des chapitres les plus sombres de l'histoire. Ce n'est pas seulement une leçon de politique commerciale, c'est un avertissement. Car aujourd'hui, les tarifs douaniers sont de retour. Dans cette vidéo, nous explorons l'histoire de la loi Smoot-Hawley, comment une vague de nationalisme économique a rendu un monde fragile plus dangereux, et ce que cela signifie pour notre économie mondiale actuelle. L'histoire est-elle sur le point de se répéter ?"

 

Tags : Economie Etats-Unis




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2 réactions à cet article    


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    Étirév 15 mai 07:13

    Les tarifs douaniers ne créent pas de dictateur.
    Le dictateur est une émanation, une création des masses. C’est la Masse incarnée, la Masse à son plus haut degré de malfaisance, à son plus haut pouvoir de destruction.
    Aussi, quel régime est plus favorable à l’établissement de la dictature que la démocratie ? Car les « Puissances d’argent » savent utiliser à merveille le leurre du suffrage universel, mais cet instrument ressemble aux autres, il s’use à force de servir. En exploitant le suffrage universel, elles le dégradent. L’opposition entre le suffrage universel corrompu et les masses finit par prendre le caractère d’une crise aiguë. Pour se délivrer des « puissances d’argent », ou du moins pour se donner l’illusion de cette délivrance, les masses se choisissent un chef, Bénito ou Adolf.
    Ainsi, le monde va-t-il, en un rythme toujours accéléré, de la démocratie à la dictature, de la dictature à la démocratie, jusqu’au jour où…



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phan

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